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Oui, j’ai un peu tardé à écrire la conclusion de mes 15 semaines de Freeletics. En un mot : good ! J’ai terminé fin octobre et j’ai été très satisfait des résultats. Je ne vais pas répéter ce que j’ai déjà dit dans les autres articles, alors quoi de neuf ?

Personnalisation de l’appli Freeletics

Tout d’abord, inutile de détailler séance par séance. Les mises à jour de l’automne 2015 introduisent tellement de possibilités que, au final, rien n’est vraiment reproductible. Pour chaque exercice, le coach virtuel choisit entre les versions endurance, force et standard. Il choisit aussi de vous faire exécuter moins de tours que la version complète, ou de répéter plusieurs fois le tout. Bref, vous l’avez compris, c’est très personnalisé.

Autre changement récent : l’ajout de la course à pied. Très intéressant, même si cela n’ajoute pas grand-chose, si ce n’est pour ce qui me concerne une sorte de piège à marquer des points Freeletics grâce à la course. Or moi, ce qui m’intéresse, c’est faire autre chose que de la course à pied. Bref, c’est mon p’tit bonhomme de chemin à moi. Aucune importance.

Personnaliser sa propre pratique de Freelectics

Que se passe-t-il après les 15 semaines ? J’ai été très content, certes, et j’ai directement acheté un autre plan de 15 semaines à 40 €. Je ne le suis pas, faute de temps, et maintenant que je connais Freeletics, j’ai tendance à vouloir choisir moi-même les exercices et workouts que je vais faire.

Mon avis, c’est qu’après la première phase de 15 semaines, il faut personnaliser ses entraînements Freeletics. J’aimerais bien en faire une routine quotidienne, et introduire systématiquement les séances de warmup et d’étirements. C’est très rapide et ça fait vraiment beaucoup de bien. Là où j’imaginais réduire les séances à deux ou trois par semaine, en me remettant à intensifier la course à pied, j’aurais tendance à dire que Freeletics, doit rester central.

Hygiène de vie

Car Freeletics développe des qualités globales qu’on perd très vite en ne s’entraînant qu’en course. Equilibre, force, coordination générale, tonicité, etc., sans compter le renforcement des articulations, des muscles stabilisateurs, et le gainage. Freeletics, c’est un formidable moyen de prendre de bonnes habitudes, et il ne faut pas négliger cet aspect. Juste faire entrer cet entraînement dans son hygiène de vie.

J’essaierai de revenir sur tout ça dans quelques mois pour donner quelques trucs sur la façon de ne pas lâcher l’affaire. Ce n’est pas forcément évident, surtout quand on a un rythme de vie imprévisible, avec beaucoup de déplacements, mais là, on s’approche du 1er janvier, et tout le monde sait que le 1er janvier, on prend des bonnes résolutions !

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